A Marie-Hélène
Ô toi qui de nos cœurs
Sus préserver l’émoi
Par tes yeux fous, rieurs
Tendres et si doux parfois
Ô toi qui nous attise
D’un battement de cils
Quand nos regards se grisent
A nous rendre dociles
Toi belle et romantique
Aux œillades coquines
De grâce féerique
Sensuelle et féline
Ta voix si caressante
Se veut parfois rebelle
Quand elle devient puissante
Que tu te fais cruelle
Parfois si infantile
Qu’on voudrait protéger
Tout ton être fragile
Pour mieux te soulager
Tu nous manques Claudine
Ou Totoche ou Baba
Rebelle Mandoline,
Prénoms que tu portas
Ton talent passionné
Ta présence évidente.
Tu nous as étonnés
De ta fougue fervente
Reviens Marie Hélène
Nous éblouir encor’
De ta grâce de reine
Aux délicats trésors.
Vincent Gendron
Le 18-03-2010
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